Nuage de Sable Membre d'honeur ~Sably~
Messages : 676 Date d'inscription : 10/09/2012 Age : 25 Localisation : Toujours devant la tanière des apprentis, jouant avec les feuilles et observant les guerriers partir à la chasse ou en patrouille.
Feuille de personnage Relations: A la recherche d'un mentor et d'un (futur) compagnon Description physique: Petite chatte rousse-sable, yeux bruns perçants, poils mis long, et grande sur patte. Puff: Sably
| Sujet: Rencontre sur les frontières [Lumy,Vipère,Sably] Mer 2 Avr - 12:43 | |
| Une grande chatte rousse, oui c'était cela qui hantait les rêves de Nuage de Sable. Celle-ci se tenait toujours devant elle, immobile. Chaque poil de la femelle était comme brillant, tel une étoile. Mille et une raison pourrait faire penser que cette chatte était la mère de la rouquine. Mais qu'elle mère s'en irait alors que sa progéniture cris à l'aide? Aucune, surement. Mais cette femelle-là partait lorsque Nuage de Sable criait. Mais elle n'abandonnait jamais, et criait encore, chaque nuit, chaque rêve. Et c'est encore quand la chatte au pelage étoilé commençait à courir, et Nuage de Sable savait qu'elle n'arriverait plus à la rattraper, que la rouquine se réveilla. Le soleil du matin passant à travers les branchages du taillis qui protégeait les apprentis. Nuage de Sable ouvrit les yeux lentement, éblouie par le soleil qui avait pris la place de la nuit de son rêve. Les oiseaux chantaient, et c'est comme ça qu'elle se rendit compte de l'heure tardive du matin. Elle se leva, s'étirant chaque membre engourdit durant la nuit. Le nombre d’apprentis était certes réduit dans le camp, mais elle était quand même la dernière à se lever, si bien qu’elle nu pas à zigzaguer entre tout le monde pour atteindre la sortie. Quand elle passa la tête à travers les feuilles, elle vit tous les chats du camp qui s’activaient, surement la patrouille qui rentrait, et donc une autre qui repartait. Alors, une voie s’éleva de la tanière des anciens : -« eh, petite, tu voudrais bien te bouger les fesses, et aller me chercher de la mousse ? Je crois qu’il à plut dans la mienne ! » Et une autre lui répondit, un ton d’humour dans la voix : -« dit plutôt que tu as eu une fuite ma chère ! » Nuage de Sable, n’écoutant pas la réponse de l’autre, qui promettait de ne pas manquer d’acerbité, sortit de la tanière en direction de la sortit du camp. Elle salua le gardien d’un geste de queue, qui lui demanda ou elle se rendait, riant quand celle-ci lui dit que c’était pour de la mousse qu’on lui avait demandé au saut du lit. Elle se dirigea en trottinant vers la forêt. Elle avait repérer non loin de la frontière avec le clan du l’ombre et du clan du vent, un coin emplit de mousse, ou elle n’avait qu’à se baisser pour en trouver. Mais c’était aussi un endroit que la rouquine n’aimait pas beaucoup, bien trop proche du clan de l’ombre à son goût. Avançant donc à pas réduit, Nuage de Sable rejoignit la forêt. Cette immense forêt, appartenant pour la plupart au clan du tonnerre, les plus hauts arbres touchant presque les étoiles. Elle était tellement impressionnante, presque effrayante, mais en même temps attirante comme un aimant. Chaque pas devait être silencieux, pour ne pas troubler ce silence apaisant qu’elle procurait. La rouquine adopta la posture du chasseur, humant l’air frais de cette matinée ensoleillé. Elle savait qu’elle n’était pas là pour chasser, mais elle ne pouvait s’empêcher de ressentir les odeurs qu’elle aimait temps. Elle approcha du coin de mousse, tout à côté de la rivière s’éparant le clan de l’ombre du clan de la rivière ou elle commença à ramasser quelques boules avec sa gueule. Quand tout à coup, elle entendit un bruit de pas. Un chat. Elle leva les oreilles, guettant l’aisance de l’animal. Sa démarche était légère, et non bruyante, c’était donc un chat de clan. De plus l’odeur lui apportait un fumé qui la dégoutait, une odeur âcre, presque putride, un chat du clan de l’ombre. Nuage de Sable ne savait quoi faire. Se cacher, pour étudier ce chat, courir chercher du renfort, lui sauter dessus. Elle décida de d’abord se cacher, et se plaqua donc au sol, appuyant sur ses pattes arrières, prête à bondir. Elle avança lentement vers les fourrés qui la séparait du chat, qui elle, car c’était une femelle d’après l’odeur, c’était arrêter d’avancer.
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